Nom: Glingal
Prénom: Galadriel
Âge: 17 ans
Sexe: Féminin
Physique: Elle a longtemps été petite, avec une allure boulotte, pleine de longs poils noirs. A présent elle est grande, élancée, très fine. Ses yeux sont verts très clairs, couleur d'émeraude, presque transparents. Elle est imberbe, hormis ses cils, ses sourcils et ses cheveux qui sont longs et roux aux reflets cuivrés, méchées de blonds, flottant légèrement le long de son dos. Son physique est délicat.
Signe Particulier: elle ne parle pas, elle a de longs cheveux roux aux reflets cuivrés, et elle se promène toujours avec un calepin.
Caractère: Galadriel est distante et inexpressive. Elle est très renfermée. Elle déteste l'injustice. C'est un vrai rat de bibliothèque car elle a pris l'habitude de s'y réfugier le plus souvent possible. Elle est comme éteinte, comme si le moindre souffle d'air allait souffler sa dernière étincelle de vie.
Orientation sexuelle: Hétéro
Histoire: Quand Galadriel est née, elle était petite, ronde et couvertes de longs et épais poils noirs. Cette atroce physique était dû à une étrange maladie encore méconnue. Ses parents ne supportaient pas de voir que leurs chair et leurs sang était aussi horrible à voir. Ils l'abandonnèrent dans un orphelinat, car dans leurs milieux, ils ne pouvaient pas être encadrés de personnes au physique non irréprochable, même leurs propre fille. Les gérants de l'orphelinat ne voulaient pas que leur établissement est mauvaise réputation à cause d'une fille qui n'avait pas été gatée par la nature. Galadriel fit ainsi plusieurs orphelinat, presque tous ceux du pays à vrai dire, pour finir dans celui où elle est actuellement. Elle était à quelques jours de ses quinze ans. A quinze ans, son physique commença à changer: elle perdit tout ces poils, hormis ces cils, ses sourcils et ses cheveux qui s'éclaircirent jusqu'à devenir roux aux reflets cuivrés, méchés de blonds, s'agitant légèrement le long de sa colonne vertébrale. Ses yeux étaient verts presque transparents, couleurs d'émeraude, mais ils semblaient éteint, et son corps s'est allongé et affiné. A cause de son enfance désastreuse, Galadriel ne parle pas, elle est inexpressive, distante et renfermée. C'est devenu un vrai rat de bibliothèque (lieu où elle avait pris l'habitude de se cacher du temps où elle était laide et que tout le monde se moquait de ce petit phénomène de foire) et elle avait toujours sur elle un calepin qu'elle ne quittait plus. En la voyant, on a l'impression qu'on est devant une flamme qui vacille, et que le moindre courant d'air l'éteindrait pour de bon.
Galadriel ne parle pas, on ne sais pas si elle est muette, et au fond de son regard, bien caché, ce situe une larme de tristesse, dont la cause est indéfinissable.