Chambre d'Andrea Sullivan

Andrea fixait la pièce. C'était grand, et elle comptait garder cet effet de grandeur. L'infirmière saisit son cellulaire et composa le numéro de l'assistante de son père. Après le deuxième son de sonnerie du téléphone, la magnifique femme roula des yeux: ses appels étaient habituellement primordials et l'assistante devait y répondre au prix de sa job. On décrocha finalement, et l'assistante, ayant lu le nom d'Andrea sur l'afficheur, s'excusa de nombreuses fois, ce qui fit à nouveau soupirer Andrea.

*Quelle incompétence de sa part...*

Andrea lui demanda séchement d'arrêter ses bêlements, et lui débita la liste de choses dont elle avait besoin: trois décorateurs, leurs listes des idées pour décorer la chambre, ajoutant qu'elle désirait un style loft avec beaucoup de pièces de chrome, de pierres, un peu de zen, et du rouge, sa couleur favorite, etc.

À la fin de sa discussion, Andrea pointa le cellulaire très coûteux dans tous les sens, et envoya les photos prises, puis rangea d'un geste de la main son merveilleux petit appareil dans son sac à main signé Gucci. Elle releva un peu sa jupe beige très courte Roca Wear, dévoilant encore plus sa magnifique cuisse, et réajusta son haut, assorti avec la jupe et les bottes, toutes de marque Roca Wear. On allait bientôt livrer ses bagages, et Andrea avait hâte de revêtir l'uniforme qu'elle avait envoyé faire "mesurer" à sa mesure personnelle: jupe courte et très serrée, tout comme le sarrau, auquel les boutons allaient s'arrêter au beau millieu de la courbe de ses seins, laissant voir son merveilleux décolté.

Pour le moment, il ne restait qu'à l'infirmière de visiter un peu...

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Enragée de ne pas encore reçu la moindre réponse de l'assistante de son père, Andrea entra dans sa chambre en furie et composa rageusement le numéro de son père.

Après un long moment, l'appel fut relocalisé à l'assistante...

-Je suis très déçue à date de tes compétences. As-tu au moins contacté un décorateur???

-Je n'ai pas pu, Mademoiselle. Votre père est en pleine transaction, et...

L'infirmière ne se tarda pas pour couper.

-C'est papa qui le saura, alors! dit-elle avec un ton superficiel.

- ... J'en rejoins au moment même, alors.

-Bien, merci.

Et elle raccrocha, se sentant beaucoup mieux. Comme il était plaisant de faire courir autant de personne pour soi!

Invité

Olivier s'était introduit dans les racoins les plus introuvable de cette orphelinat. Il marcha, les deux mains dans chacunes de ses poches, il examina les murs, les portes, les différentes fenêtres. Bref, tout était mélangeant dans ce couloir. L'adoslescent parcoura lentement le couloir, puis il s'arrêta devant une porte. Il avait l'intuision que s'était la bonne et qu'il pourrait sortir de ce labyrinthe. Il tourna la poignée de la porte et l'ouvra légèrement par la suite. Puis il sorta sa tête pour voir si s'était bien la bonne porte. Une personne se trouva la, une jeune femme donc la peau était noir. S'était une femme magnifique.

-J'imagine que s'est pas la sortie ici. Déclara t-il en chuchotant.

Étant élever dans une famille de riche, les bonnes mannières étaient oubligatoires chez lui. Puis d'un coup de tête.

-Madame.... Disa-t-il en signe de respect.

Entendant la porte s'ouvrir, Andrea se tourna lentement vers celle-ci.

*J'ai peut-être un peu trop stressé cette femme... Y'a t'il vraiment un décorateur qui arrive?*

Voyant que ce n'était qu'un simple orphelin, Andrea se rassura un peu, même si ça aurait été merveilleux qu'on fasse entrer les meubles...

Se balançant complètement des bonnes manières, car elle n'en avait que pour ceux qui l'égalaient ou qui méritaient son estime, l'infirmière répondit:

-Oui? Qu'est-ce qu'il y a?

Elle posa ses mains sur ses hanches, qu'elle balança d'un côté, ramenant sa longue jambe noire vers l'autre, en se fléchissant un peu.

Invité

Surment qu'il était arriver dans cette chambre dans un mauvais moment. Juste à voir la réaction de la jeune femme s'était à peine pour dire qu'elle était sympathique. Le jeune homme était tout près de la porte, fixant étrangement la jeune femme noir.

-Eu....Dit-il en sorta seleument se mot toute en avalant sa salive un peu de travers.

Olivier tourna les talons légèrements pour se diriger vers la sortie de la chambre.

-Non non, rien, je me suis simplement tromper de porte, en croyant qu'ici s'était la sortie. Dit-il en offrant un petit sourire en coin à Andrea.

Voyant qu'elle avait un peu froisé le jeune homme, Andrea lui envoya un sourire, tout en courbant les sourcils. Elle fit deux pas dans sa direction, toujours avec ce même air. Andrea avait un don naturel pour détendre l'atmosphère, et elle s'était entrainée souvent.

-La sortie, ici? Tu viens plutôt d'entrer dans mon chez moi...

D'un vif geste de la tête, qui fut accentué par ces courts cheveux noirs, Andrea désigna le quatres murs... Encore bien nus.

-Comme tu peux le constater, tu m'a surprise en train d'arranger cette pièce.

Elle lui adressa un clin d'oeil.

-... Mais tu ne me déranges pas du tout.

La chanson de Britney Spears retentit à nouveau, et Andrea attrappa son cellulaire, et leva l'index dans les airs.

-Une seconde.

Voyant que c'était les premiers plans pour la pièce, Andrea referma à nouveau le cellulaire et le rangea, puis fixa l'orphelin avec beaucoup d'intéret, pour lui dire qu'il pouvait continuer...

Invité

Olivier fixa la grand pièce. Elle était presque vide, mais elle prétentait que s'était sa chambre. Peut être qu'elle attendait des pièces ? Ou quelque chose du genre. Le jeune homme était sans mot, fourrant rapidement ses deux mains dans ses poches de jeans. Il fixa toujours la jeune femme ave un oeil attentif, même que sur le coup il cru voir qu'elle lui avait fait un clin d'oeil. Il aurait aimer revoir sa sur une vidéo pour voir si elle l'avait vraiment fait.

Puis soudain, au millieu de cette plutôt ennuyante discution, la sonnerie d'un cellulaire sonna. S'était une musique de cette femme avec plein de contreverse, bref, Britney Spears. Il fit un signe de d'accord quand elle lui disa * Une seconde *.

Puis, elle finissa rapidement de parler avec son cellulaire pour le refermer rapidement. Olivier la fixa avec un petit sourire gêner. Elle le fixait comme si il devait dire autre chose ? Mais quoi...

-Eu......Bien s'est sa. Dit-il en sorta une de ses mains de sa poches pour aller se gratter derrière la tête.

Le jeune homme ne savait point quoi dire devant le monde, jamais de toute de mannière qu'il avait parler déja aussi longtemps avec quelqu'un.

-Vous faites quoi ici au juste. Madame... Dit-il en la questionnant. Il était dans une orphelinat, donc il devait y avoir du monde qui travaillait.

Andrea pencha un peu la tête, en train d'évaluer l'orphelin de certains coups d'oeil.

*Un petit timide? J'aime bien ça, les voir essayer de paraître à l'aise!*

Le nouveau venu ne savait pas trop quoi répondre, et il lui demanda ce qu'elle faisait ici.

Andrea, avant de répondre, regarda un peu sa tenue: on ne pouvait pas encore deviner son poste ici...

-Je n'ai pas encore reçu mon uniforme à moi, mais je suis l'infirmière.

Puis, elle continua sa phrase aussitôt.

-On ne s'est pas tout à fait présentés: Moi c'est Andrea. Pas de Madame Sullivan je t'en prie.

C'était vrai que la discussion s'en allait vers le point d'ennui. Habituellement, il y avait l'alcool et la danse qui faisait un peu avancer les choses, mais elle n'était pas dans une boîte ici.

Invité

Olivier fixa la jeune femme avec un simple demi-sourire. Toujours ainsi mal à l'haise avec le monde. Si il continu d'être comme sa avec le monde, il ne s'en sortira jamais dans un endroit publique comme celui la. Mais déja qu'il avait dit plusieurs phrases, s'était un très bon début. Il découvra ensuite que s'était l'infirmière de cette école. Une léger penser lui surgit dans sa tête, mais il l'effaca aussitôt pour se concentrer sur l'infirmière.

Ensuite, il su sont prénom, Andréa Sullivan. Mais bizzarement, celle-ci refusa qu'on l'apelle madame Sullivan. Olivier avait l'habitude d'apeller les femmes, madame ! Mais bon, il respectait le choix de celle-ci.

-Je vous apellerez Andréa, si cela est votre choix. Dit-il en lui étirant un plus grand sourire cette fois-ci.

Bon, logiquement, s'était à lui de se présenter.

-Moi je me nomme Olivier, Olivier St-Amour. Comme vous pouvez le remarquer, je suis un orphelint, mais pas pour longtemps vu que j'ai 17 ans. Heureusement pour moi, car je déteste être connu sous un * Orphelint *.

Avait-il dit tout cela d'un seul coup ? Olivier s'étonna lui même après qui est dit le dernier mot.

Andrea hocha la tête: les pensionnaires ici n'aimaient pas se faire traiter d'orphelins... Il lui faudra faire beaucoup d'efforts pour ne pas en traiter un de la sorte, si elle tenait à sa job. En fait, ça lui plaisait bien ici: elle pouvait vagabonder où bon lui semblait, parler à ses amies et faire courir l'assistante de son père.

-Euh, j'ai une question. Les pensionnaires ici vont bien à l'école, non? En venant ici, je n'en ai croisé aucune sur la route... Dois-je supposer que vous n'y allez pas, ou bien que c'est ailleurs?

Le téléphone sonna à nouveau, mais Andrea le laissa sonner, et celui-ci s'arrêta après trois refrains de suite. L'infirmière n'était pas encore allée partout: il était donc normal qu'elle se pose des questions.

Invité

Olivier avait baisser son regard vers le sol, les yeux brun du jeune homme pointer sur le sol. Puis, vint la question soudaine de l'infirmière. Cette fois-ci, un petit sourire s'étira sur ses lèvres et il releva peu à peu son regard vers la belle jeune femme noir.

-À vrai dire, je n'ai même pas recu d'horaire pour mes cours. Je suis arrivée ici ce matin. On ma attribuer ma chambre, j'y suis rester pendant quelques minutes, et puis me voila ici, en face de vous.

Il n'y avait pas dix milles réponses à sa question, et Olivier n'était pas un menteur, puis qu'il avait toujours su que mentir servait à rien et que sa ne fait que rempirer les choses. Puis, en attendant le téléphone sonner Olivier fixa Andrea un peu mal à l'haise.

-Mais la, je vous empêches de continuer votre * Parlage * au téléphone. Je vais demander à quelqu'un d'autre pour savoir se que je dois faire. Dit-il en se préparant à partir.

Lorsque Olivier lui proposa de reprendre sa conversation téléphonique, Andrea se rendit compte qu'elle avait peut être prit trop de temps sur le jeune homme, et qu'intérieurement, elle avait bien envie de savoir où les plans de sa chambre en étaient rendus. Elle inclina un peu la tête vers l'avant, lui désignant la porte.

-Ce fut un plaisir de te rencontrer.

Andrea resta à la même place, mais changea un peu la position de ses jambes, qui commençaient à s'engourdir.

-J'espère te revoir bientôt, mais pas avec quelques mombres en moins à l'infirmerie!

À la suite de sa taquinerie, Andrea sourit, et lui envoya la main, le voyant s'engoufrer à travers la porte.

-... Et tu n'as qu'à remonter le couloir et tourner à droite pour rejoindre les escaliers!!!

Lui cria la femme noire, espérant qu'il l'ait entendu afin qu'il ne se perde pas à nouveau.

Invité

Le jeune homme trouva très aimable la femme noire de lui dire au moin le reste du chemin qu'il avait à faire. Il salua une dernière fois la femme avec un simple coup de tête. Puis juste avant de passer le cadre de porte, il tourna son regard vers celle-ci avant de refermer la porte derrière lui.

Puis ave les indications qu'elle lui avait crier à la dernière minute, il marcha lentement, observant chaque petit racoin de ce couloir. Il marcha jusqu'au bout complètement du couloir. Il n'eut pas vraiment le choix de tourner à droite. Il s'arrêta net devant une porte avec une fenêtre vertical et rectangle. Il poussa la porte pour finalement voir les escaliers.

La porte se referma seul derrière se qu'il fit tourner la tête d'Oli vers la porte qui avait fait pas mal de bruit. Puis il redirigea sa tête vers l'avant pour commencer la monter des escaliers. Puis il arriva au deuxième étage ou troisième, ou le nombre qu'il voudra puis qu'il ne savait pas à quel étage il était rendu. Puis il ouvra une porte....

L'infirmière fit demi-tour, et extirpa de son sac à main déposé par terre son précieux cellulaire. Elle fut heureuse de constater que l'assistante de son père s'était enfin relevé les manches: les trois plans étaient enfin là, attendant sagement qu'elle décide entre chacun d'eux celui qui se réaliserait.

*Il aurait fallut que j'aie un ordinateur pour voir les plans dans une plus grande résolution.*

Comme elle avait donné son portable à sa mère, il ne restait plus qu'à la divinement belle femme d'en commander un autre encore plus puissant, meilleur, joli et plus cher. Via son cellulaire, elle se rendit sur le site d'Apple et entra son nom de membre privilège: pas de rabais, mais l'obtention de la marchandise bien plus rapidement, comme une bonne demi-heure. Andrea choisit le meilleur portable, s'assura qu'il soit de l'édition spéciale Aids (fonds remis au Sida, qu'elle aime bien défendre, et dont la teinte de l'appareil est rouge, encore mieux) et une fois la commande passée, Andrea soupira. Elle devait ENCORE attendre... Elle avança un peu vers la porte, et se décida enfin à trouver une place tranquille ou elle pourrait relaxer un peu... Ou même discuter avec quelqu'un...

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