~»|Présentation d'Ophélia Johnson|«~

Nom:
[Johnson]
Prénom:
[Ophélia]
Âge:
[25 ans]
Sexe:
[Féminin]

Physique:
[Ophélia à un physique assez hors du commun, si on la compare à ses collègues. Elle est plus ou moins grande, avec des courbes parfaites et un corps mince. Elle porte ses cheveux bruns assez longs, sa peau, pâle comme la mort, donne l’impression d’être glacée, ses yeux sont marrons, légèrement rougeâtres à la limite, son nez, fin et droit, ses lèvres sont légèrement pulpeuse d’une couleur rouge au naturel. Lorsqu’elle sourit, on peut voir ses dents blanches…et ses canines plus longues et pointues que les gens normaux. En résumé, Ophélia ressemble aux vampires dans les mythes.]
Signe Particulier:
[Sa peau d’une blancheur cadavérique, ses yeux marrons rouges, ses lèvres naturellement rouges et ses canines plus pointues que la norme. Elle est atteinte de la «maladie du Vampire», la porphyrie.]
Caractère:
[Autrefois, Ophélia était une enfant irritable, presque violente. Toutefois, ces troubles de comportement n’étaient que passagers, heureusement. Aujourd’hui, devenue une adulte, ces crises sont plus rares, quoiqu’elles surviennent de temps à autre. D’ordinaire, Ophélia est une jeune femme responsable, toujours à son affaire, qui aime aider les autres. Mais son passé à laisser plusieurs séquelles psychologiques, entre autre son manque de confiance en elle et sa peur d’aller vers les gens. Cela fait également d’elle une femme solitaire, habituée à ne vivre que pour elle.]
Orientation Sexuelle:
[Hétérosexuelle]

Histoire:
[Mes parents étaient tout deux des «Johnson». Évidemment, leur parent commun remontait à bien des générations, mais ils étaient tout de même issus de la même famille. Bref. Ils s’étaient rencontrés par hasard dans un parc. Ils promenaient chacun leur chien et, alors qu’ils se croisaient, les chiens de sont emmêlés, provoquant ainsi un face à face assez brusque. Ce fut, pour les deux, le coup de foudre…Enfin c’est ce qu’ils prétendent. Personnellement je n’ai jamais vraiment cru au coup de foudre mais bon. Ça n’a aucune importance. Le fait est qu’ils se sont revus quelques jours plus tard et, à partir de ce moment, une longue relation solide s’est enclenchée. Quatre ans plus tard, je vins au monde. Ils étaient si heureux! Étant petite, je pouvais voir la joie que je leur procurait, du moins, je le réalisai plus tard, lorsqu’ils apprirent ma maladie. J’étais atteinte de la porphyrie, qui est une maladie du sang. Ma peau ne devait pas entrer en contact avec une lumière trop forte, j’étais condamné à vire dans la noirceur. Ce jours-là, celui de ma condamnation, tout leur vie, et la mienne, a chamboulé. Ils ne me regardaient plus de la même façon, je pouvais voir dans leur visage la déception et l’immense tristesse qui les habitaient. J’étais trop petite pour comprendre, je n’avais que deux ans et demi après tout. Après quelques semaines, ils ont recommencés à me regarder comme avant, quoique avec un soupçon de pitié…
Finalement, les années passèrent et il fut le temps que j’aille à l’école. Mes parents prirent la décision de me faire apprendre à la maison pour mon primaire. Ce fut un véritable succès, ma foie! Mais, lorsque vint le temps du secondaire, là, ça été plus compliqué. J’étais obligé de prendre des cours de soir. J’appris, à cette époque, à vivre la nuit et à dormir le jour. Je me suis rapidement habitué à ce mode de vie qui me plaisait bien. Mais, sans le vouloir, j’attirais l’attention de mes collègues de classe. Ils ne comprenaient pas ma condamnation et ils ne perdaient pas une opportunité de m’insulter, de me traiter de bizarroïde, de vampire et de morte. Je n’eus d’autre choix que d’abandonner l’école car les attitudes de mes camarades et mes crises- ma maladie commençait à jouer contre moi et je devenais de plus en plus irritable- prenaient le dessus sur ma réussite. Une fois de plus, mes parents décidèrent d’engager un professeur privé. Encore une fois, ce fut une réussite totale après un tel échec. Vint ensuite le temps d’étudier mon métier futur. J’étais beaucoup attiré par la psychologie, je décidai donc d’étudier dans ce domaine. Jusqu’à récemment, je vivais encore chez mes parents! Je n’avais pas trop le choix car la maison avait été fait sur mesure pour moi. Toutefois, la vie quitta mes parents. Après mes études, je décidai de me chercher un emploi et- dieu merci!- je trouvai dans le journal une petite annonce qui disait qu’un orphelinat cherchait un psychologue. J’ai tout de suite contacté la directrice et je lui ai tout expliquer, ma maladie y comprit. Kimberley s’est montré si gentille! Elle m’a promit une chambre et un bureau adéquat et elle m’a promit un passage secret qui mènerait de ma chambre à mon bureau. Aucun employeur n’aurait démontrer autant de gentillesse envers moi, je ne pouvais donc pas refusé cette offre…]

Rang dans l'orphelinat:
[Psychologue]
Ancienneté:
[Nouvelle]